Quand Le Monde et Libération font de la manipulation et désinforment sciemment
Le Monde, Libération, Le Nouvel Obs…..Pour beaucoup de Français, ces journaux sont le nec plus ultra de l’information à la française, des vrais journaux d’investigations, de reportages.
Heureusement, pour de plus en plus de français informés, et ce grâce au web, et à l’éventail très large de sources d’opinions, nous nous rendons compte que ces journaux ne font plus essentiellement que de la propagande. De la propagande purement et simplement.
Hier, votre serviteur s’est bidonné de rire, en regardant ce fameux journal “Le Monde” propager des fake news, en toute impunité.
Reprenons l’histoire depuis le début.
Revenons en arrière. Premier épisode. CGTN, média chinois, porté à l’international, publie sur son site internet le témoignage d’une française nommé Laurène Beaumond à propos du Xinjiang. Elle y décrit ce qu’elle a vu, car elle y a vécu, et elle parle donc d’expérience. Ni plus ni moins. Ce qui, en soi, est déjà pas mal, quand on sait que l’intégralité des journalistes français n’a jamais mis le moindre orteil dans cette région chinoise. Son article, plutôt bien écrit au demeurant, est en soi une source d’information. Ni plus ni moins importante que d’autres mais il a le mérite de l’expérience vécue.
Quelques heures après sa publication, le journal Le Monde publie cet article https://www.lemonde.fr/international/article/2021/03/31/quand-la-television-chinoise-cgtn-invente-une-journaliste-francaise_6075155_3210.html.
Nathalie Guibert, la journaliste auteure de cet article, sans chercher vraiment à vérifier, ce qui est la base de son métier, se permet d’écrire que cette personne est un fantôme. Qu’elle n’existe pas. Laurène Beaumond est un fake. Puis par extension, elle accuse le gouvernement chinois d’avoir inventé ce profil, de faire de la propagande à deux sous, en créant de toute pièce un faux témoignage. Voilà. La messe est dite. Libération s’en empare dans l’heure qui suit….Thaïs Chaigne et Laurence Defranoux deux autres “journalistes”, relaient la fake news sans vergogne, sans dignité. Sans droiture journalistique.
A aucun moment, n’aura germé dans leur tête de journalistes orientés que cette Laurène Beaumond pouvait être une vraie personne mais parlant sous pseudonyme. Et oui, car, voyez vous, on en est là. Les français qui oseraient parler de la Chine et du Xinjiang en des termes non validés par la doxa médiatique sont immédiatement cloués au pilori. Soupçonnés d’être payés par la Chine, d’être des valets du PCC chinois, et d’avoir le cerveau lavé au mieux, ou pire: être fanatique du PCC.
Deuxième épisode, le lendemain, Le Figaro, sous la plume de Sébastien Falleti a donc essayé de faire son travail. On ne peut soupçonner ce journal d’être de collusion avec la Chine. Mais, eux, ils ont fait leur travail. Ils ont retrouvé cette femme, et lui ont donné la parole. Elle existe bel et bien. Un être humain fait de chair et de sang. Celle ci est inquiète pour sa sécurité et voudrait qu’on la laisse en paix. On la comprend. Les chiens sont lâchés. Ils mordent fort.
Et finalement il ressort de cette histoire glauque qu’ aucune nuance n’existe dans l’ esprit étriqué de ces pseudos journalistes. Aucune. Ces journalistes nous font honte. Car non seulement ils mentent, mais on l’apprend aussi, de faux comptes twitter ont étés fabriqués ensuite pour la discréditer. Qui est derrière cette manipulation ? En tout cas, nous le savons désormais, ils mentent, et sont malhonnêtes. Voila l’état de probité de notre presse française vis à vis de la Chine. Proche de zéro.
Plus que jamais, pour le citoyen cherchant le vrai, il va falloir s’armer de méfiance, chercher par nous même les infos, recouper les informations, et surtout, surtout ne pas avoir peur de ces journalistes à la solde d’une propagande qui n’hésite plus à recourir à des procédés inqualifiables pour rabaisser la Chine.