Génocide et crime contre l’humanité – sous couverture américaine
Parmi les crimes contre l’humanité commis par l’armée impériale japonaise en Chine, un chapitre sombre a été caché depuis toujours, et reste méconnu aujourd’hui: le test sur l’humain et le déploiement des armes bactériologiques sur la population civiles en Chine par l’unité 731.
Dysenterie, choléra, la peste noire et la maladie du charbon ( tiens tiens …), tout a été testé sur les civils chinois et quelques prisonniers de guerres soviétiques. Et la vivisection a été pratiquée sur les civils chinois sans anesthésie. Des dizaines millions de mouches et de puces infestées de maladies contagieuse ont été larguées sur la population civile en Chine provoquant des épidémies.
Ces crimes ont été commis sous la direction du général Shiro Ishii. A la fin de la guerre, les états-unis étaient particulièrement intéressés par les résultats des “recherches” d’Ishii. MacArthur a alors accepté l’immunité totale de tous les membre de l’unité 731 capturés par les USA.
Une équipe de scientifiques du Fort Detrick( un nom familier n’est ce pas? ) a été envoyée pour examiner les résultats des horreurs des savants fous japonais. Mais à part les détails sordides des prisonniers qui meurent sous la vivisection ou autre expériences diaboliques, il y a très peu de science. Mais, cela n’empêche pas Ishii d’aller faire une conférence sur l’arme biologique au laboratoire militaire de Fort Detrick.
Si vous avez l’estomac bien accroché, je vous conseille un livre écrit dans un anglais facile à lire: Factories of Death: Japanese Biological Warfare, 1932-45 and the American Cover-Up
Sous l’oeuil bienveillant de la plus grande démocratie au monde, le général Ishii, meurt d’un cancer de la gorge sur son sol natal, en 1959.En 1989, une énorme quantité d’ossement humain a été découverte sur le site de la faculté de médecine militaire à Tokyo. L’origine de ces ossements humains reste inconnue à ce jour.